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ainsi que des familles des communes voisines : Méréville, Pulligny, Pierreville, Xeuilley, Flavigny, etc.
Au total 2,757 lieux sont représentés.
8,816 médias (photos, actes, documents, etc...) illustrent différents évènements parmis les 57,720 présents.
Une deuxième partie concerne les noblesses française et européenne dont fait partie "Anne Marie Joseph « Prince d’Harcourt » de LORRAINE-Elbœuf",
qui prit le titre de "Prince de Guise" en 1718, après avoir créé le Comté de Guise sur Moselle, ancienne dénomination du village de Frolois :
Le Marquis de Bissy, qui succéda à tous les biens du Marquis DE HARAUCOURT son oncle,
vendis la Seigneurie d'Acraignes, le 22 septembre 1716 à Anne-Marie-Joseph de LORRAINE-HARCOURT
=> Voir la filiation du Prince de GUISE <=
=>Voir la composition de la Maison de HARAUCOURT<=
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Il y a quelque chose de plus fort que la mort. C'est la présence des absents dans la mémoire des vivants.
Jean d'Ormesson
Table des habitants de Frolois Membres de la Légion d'honneur | |
Le cahier de doléances de Frolois pour les États généraux de 1789 |
Personnalités de Frolois (54) ...
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... et des communes voisines
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Frolois
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AU PAYS LORRAIN : De Guise à Vaudémont, Rédaction : E. BADEL, 1906 |
Frolois - Notice de la Lorraine – par Dom Augustin Calmet (1672-1757)
ACRAIN. — Acraigne ou Acrain, Acrania, village sur la Moselle, ayant titre de comté, à trois lieues de Nancy, entre le Madon et la Moselle, a été érigé en comté, et a pris le nom de Guise, en faveur du prince Joseph de Lorraine, comte d’Harcourt, par patentes du 19 janvier 1718, données par le duc Léopold. Il est parlé d'Acrain sous le nom d’Agrea, dans un titre de confirmation des biens du prieuré de Flavigni, en 1213. « Dederunt quoque Navem et Piscatorem in agréa plenariè » M. le prince de Guise a fait réparer le château d'Acraigne, et y a fait des embellissemens. M. le comte de Ludre tient actuellement cette terre. La paroisse de ce lieu à pour patron St. Martin. Le chapitre de la primatiale, ci-devant celui de St. George de Nancy, apparemment à cause du prieuré de Saint Thiébaut, qui est uni à ce chapitre, nomme à la cure, et est décimateur pour un tiers dans les grosses et menues dimes, chargé de la pension du curé ; un autre tiers de la dime appartient au titulaire de la haute chapelle de Puligny, et l'autre tiers se partage entre le seigneur du lieu, et les dames précheresses de Nancy. La seigneurie a été possédée longtemps par la maison d'Haraucourt. Elle la possédait encore en 1625. Elle passa ensuite dans celle de Bissy. Dans la paroisse, se voit la chapelle de l’Annonciation, fondée par Claudin Notaire, et Marguerite sa femme. Patrons, les descendans desdits fondateurs. Acraigne est communément nommé dans les anciens titres Acregnes (Archives de Lorr., Lay., coll. Chaligny) Vichard d'Acregnes, écuyer, et Jeanne sa femme, déclarent avoir engagé à noble seigneur Henri comte de Vaudémont, et à Isabelle sa femme, la quatrième partie du pontenage du pont Saint Vincent, sauf le droit qui peut échoir de la dame Béatrix, mère dudit Vichard, après son décès, pour une somme de trente livres de bons toulois. Ledit Vichard s'engage en outre, de desservir le fief et hommage de ladite engagère envers ledit comte, de même que s'il tenait ledit héritage. L'acte est du mercredi après les octaves de là Trinité 1314. Perrin de Haraucourt, seigneur de Chambly, Magnières, Bayon, Gremilly et Létricourt en partie, baillif de Hatton-Chatel, fit ses reprises en 1568, de ce qui lui appartenait à cause de sa femme Eve de Lucy, au village d’Acregnes, à elle échu par le trépas de Vary de Lucy, sieur de Dombasle. Ces lettres sont scellées du sceau de Louis de Lucy. En 1573, le 7 septembre, Jean de Beaufort, seigneur de Puligny et Ceintrey, et en partie d’Acraigne, grand veneur de Lorraine et Barrois, reconnaît tenir du duc de Lorraine une partie de la seigneurie d'Acraigne (Ibidem. Layette, Foug, etc.). Le 15 décembre même année, Henri de Joinville, écuyer, donne son dénombrement pour la portion du fief qu'il possède audit Acraigne, en 1572. Jean Berman, demeurant à Saint-Nicolas-de-Port, reprend la moitié de la seigneurie appelée Boulac, au lieu d’Acraignes, partageant avec Jean de Beaufort, à lui échue par la mort de Jacques du Bourg son beau-père, et par donation à lui faite, par dame Béatrix du Bourg sa femme. Nicolas de Neuflotte, fait ses reprises le 25 octobre 1576, de la portion de seigneurie qu'il tient à Acraigne, dite la seigneurie de Bassompierre, partageable avec les seigneurs de Bassompierre et de Haraucourt, laquelle portion il avait acquise de, Valentin de Lundre, seigneur de Morthon. En 1612, Alexandre d'Aurillot, écuyer, rend ses foi et hommage au nom de Claude Berman sa femme, pour la part qu'il tient en la seigneurie d'Acraigne. La même année, le 18 mai, Philippe Otho, comte sauvage du Rhin et de Salm, baron de Fénétrange, donne son dénombrement au nom et comme administrateur de l'hoirie et succession universelle de Frédéric aussi comte sauvage du Rhin et de Salm, de tout ce qu'il a au ban et finage d’Acraigne, tant de la seigneurie dite ancienne, que d'une autre dite de Boulac et de Passagard, nuement à lui appartenantes , qui sont les deux sixièmes en la totalité des seigneuries dudit Acraigne, et d'une autre appelée Passagard , encore à lui appartenante , pour les trois quarts indivis , avec l'autre quart appartenant à M. le marquis d'Avrey, qui fait aussi le sixième en la totalité desdites seigneuries mouvantes en fief des château et chatellenie de Foug. En 1625, le 3 juillet , autre dénombrement donné par Elisée de Haraucourt, baron de Faulquemont, seigneur d'Acraigne , etc., à Charles et Nicole, duc et duchesse de Lorraine : pour la seigneurie d’Acraigne. Autre, de Charles de Haraucourt marquis de Faulquemont, baron de Lorquin, donné en 1661, de la même seigneurie. |
Mémoires de la Société d'archéologie Lorraine - 1866
FROLOIS (originairement Acraígnes). Moyen âge. Il est parlé de Frolois, sous le nom d`Acraígnes, dès le Xe siècle (D. T.). Église paroissiale Saint-Martin, du style ogival tertiaire ; plan rectangulaire ; abside pentagonale ; nef à trois travées et deux collatéraux très-étroits (G. de B.) ; voûtes sur liernes et tiercerons; dans la première travée du collatéral gauche, près du chœur, on remarque, à l’intersection des arcs, quatre écussons chargés des insignes de corporations; à l`intérieur de la nef, dans le mur latéral de la première travée et à droite de la porte, on remarque, près de la voûte, deux petites consoles qui ressemblent la celles d`un moucharaby ; mais l’existence de ce moyen de défense s'expliquerait difficilement en cet endroit. Pierres tombales nombreuses, dont la plus ancienne est celle d'un curé du lieu, offrant le millésime 1324. Près de la porte, on trouve un bénitier en fonte de fer, ayant la forme d`une cloche renversée avec trois petits pieds, et sur le côté, deux anneaux. En avant du portail, un porche du style ogival tertiaire ; à coté du portail, deux épitaphes avec encadrement ornementé ; l'une, avec inscription gothique effacée en partie, et l'autre, plus moderne, portant la date 1628 ; tour à fenêtres ogives géminées (G. de B.). Sur le chemin de Pierreville, à 200 mètres du village de Frolois, un monument du moyen âge, d'environ deux mètres de hauteur, appelé le Bon-Dieu-de-Pitié, représentant le Sauveur assis, les mains liées, le front ceint de la couronne d`épines : ce monument se compose d'un socle portant la statue, et, en avant, d`une table en forme d'autel. Ep. moderne. Ruines d`un ancien château qui s'élevait à l’occident du village, près de la ferme qui en dépendait ; on n'y remarque plus guère que les fossés et quelques vestiges des constructions ; ce château, qui existait déjà au XVIe siècle, époque à laquelle on l`appelle maison forte, fut reconstruit et embelli, au commencement du XVIIIe siècle, par Anne-Marie-Joseph de Lorraine-Harcourt , prince de Guise, en faveur duquel la terre et la ville d`Acraignes furent érigées en comté, en 1718, sous le nom de Guise. Il y avait alors halles, auditoire pour la justice, prison, carcan et signe patibulaire (G.). Enfin, ce comté iut érigé en marquisat par Stanislas, en 1757, sous le nom de Frolois, avec prévôté bailliagère et seigneuriale, en laveur de Charles-Louis comte de Ludre et d`Affrique (S.). Il y avait, en outre, dans cette localité, dès le XVIe siècle, les seigneuries de Bassompierre, de Boulach et de Passagard, et, au XVIIIe siècle, deux maisons fiefs et franches, portant le nom de châteaux, dont il reste encore quelques débris (C.). On remarque, dans cette localité, un certain nombre de constructions qui remontent au XVIe siècle et au XVIIe. Près de la fontaine la Valaille, cimetière des pestiférés : on y voyait autrefois une croix. |
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Pulligny : La maison des loups
Les maires de Frolois